Je commence par un coup de gueule. Ça n’est pas possible, c’est infernal, pourquoi donc cette saga ne se finit pas ??? J’étais persuadée que c’était le dernier tome, à priori, j’étais mal informée, car il reste encore beaucoup d’aventures à suivre pour Michael Pinson et ses amis. Je suis verte, fermer le livre et savoir qu’on a encore beaucoup à découvrir. C’est frustrant ça, moi, je veux savoir, tout savoir. Bon, cela mis à part, j’ai beaucoup aimé ce quatrième livre, c’est incroyablement riche en références diverses, religieuses, mythologiques ou historiques et c’est un plaisir de se cultiver ainsi. Les péripéties, les personnages, tout fonctionne, de toute façon, ça appartient à la fiction, mais cela demande vraiment une interprétation personnelle car ces références ne doivent pas tous nous atteindre de la même façon. Bref, une bonne réflexion, de nombreuses informations, un style plaisant et logiquement, une agréable lecture. Je veux la suite...
Résumé :
Un œil dans le ciel. Celui du grand Dieu qui observe les élèves dieux dans leur évolution ?
Parce qu’il résout l’énigme « C’est mieux que Dieu, c’est pire que le diable, les pauvres en ont, les riches en manquent et si tu en manges tu meurs. », Mickael Pinson accède au dieu de la montagne : Zeus. Il lui révèle qu’il s’est recrée à l’image de l’homme et que ce sont les hommes qui ont inventé les mythologies. Il s’est contenté de les incarner. Un secret connu de lui seul jusqu’à ce jour…
Zeus garantit à Mickael la survie de son peuple de dauphins s’il joue bien la deuxième manche du Jeu d’Y qui consiste à faire évoluer une communauté humaine.
La partie commencée dans Nous, les dieux continue donc en Aeden. Mais il y a peut-être encore une puissance au-dessus de Zeus…
Résumé :
Un œil dans le ciel. Celui du grand Dieu qui observe les élèves dieux dans leur évolution ?
Parce qu’il résout l’énigme « C’est mieux que Dieu, c’est pire que le diable, les pauvres en ont, les riches en manquent et si tu en manges tu meurs. », Mickael Pinson accède au dieu de la montagne : Zeus. Il lui révèle qu’il s’est recrée à l’image de l’homme et que ce sont les hommes qui ont inventé les mythologies. Il s’est contenté de les incarner. Un secret connu de lui seul jusqu’à ce jour…
Zeus garantit à Mickael la survie de son peuple de dauphins s’il joue bien la deuxième manche du Jeu d’Y qui consiste à faire évoluer une communauté humaine.
La partie commencée dans Nous, les dieux continue donc en Aeden. Mais il y a peut-être encore une puissance au-dessus de Zeus…