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Thomas Fersen vient de sortir son nouvel album, "trois petits tours", aussi charmant que les précédents, mais, peut-être plus allumé aussi. A l'image de cette chanson, "Chocolat", qui, loin de vanter la gourmandise, raconte l'histoire d'un homme qui se fait contrôler par des policiers et renifler par un chien chargé de trouver de la drogue. Je vous laisse deviner où se cache cette dernière... Pour l'instant, c'est ma préférée de l'album, j'aime le rythme, ça sonne presque comme une farce donc le résultat est des plus enjoués !
Plus j'écoute cette chanson, plus je l'aime ! Surtout le début, quand il n'y a que le piano qui apporte sa touche très particulière, mêlant dans une ambiance plutôt sombre les aigus qui sonnent comme une ritournelle et les graves quasi omniprésents qui renforcent le côté triste/dramatique des paroles. Quant à la contre-basse évoquée dans un précédent article, au temps pour moi, il s'agit en fait de ce piano...
Zaza Fournier. Voilà un nom bien improbable, qui a pourtant le mérite d'aller à merveille à cette jeune artiste.
Je viens de découvrir le premier extrait de son album à venir. La chanson s'appelle "La vie à deux", et j'en suis tombée directement sous le charme. C'est frais, entraînant, bien rythmé. Et terriblement singulier ! Un univers qui oscille entre passé et modernité, qui peut évoquer beaucoup de choses, mais qui sait être tout aussi original. Quant à la chanson, en elle-même, elle brille par son efficacité, ses paroles accrocheuses, son thème quasi universel. Bref, c'est plus qu'agréable à écouter !
Anna Ternheim, je ne vous la présente plus ! Dernièrement, j'évoquais le fait que je risquais de ne plus avoir l'occasion d'en parler, ayant fait le tour de son album "Separation Road". Et bien, raté.
Je suis inscrite à sa page Facebook, et ce matin, je suis tombée sur une information des plus intéressantes : son prochain single, issu de son album à venir, est en téléchargement libre en version acoustique ! Il suffit d'aller sur http://www.annaternheim.com/ et de remplir le formulaire qui permettra l'envoi d'un petit mail sur votre messagerie, lequel contiendra le lien pour télécharger le morceau en mp3. Fantastique, non ? En tous cas, j'ai testé, ça marche parfaitement !
Quant à la chanson, "What Have I Done" je ne l'ai écouté qu'une fois (et là, la deuxième fois est en cours). J'aime le début, son rythme. C'est vraiment du live, la sonorité est en adéquation, mais pas mauvaise pour autant. Derrière, peut-être une contre-basse, et un piano un peu déglingé. ça donne un son très brut, mais qui se fait très discret quand Anna chante. On l'entend plus pendant ses silences. C'est une jolie chanson. Je ne peux pas encore dire de quoi ça parle, je n'ai retenu que "you are my everything" et "what have I done" ce qui est relativement peu pour en dire plus !
J'ai définitivement hâte que sorte le nouvel album !
Mais que fait cette vidéo sur mon blog ? C'est vrai que c'est étonnant, mais... il y a bel et bien une raison à cela !
Pendant mes vacances, j'ai eu l'occasion d'aller jouer au bowling. Pour ceux qui sont adeptes de ce genre de lieu, ils devraient confirmer qu'on y trouve souvent de grands écrans qui diffusent des clips, plus ou moins pas récents. Evidemment, j'étais au moins aussi attentive aux chansons qui passaient qu'à mon jeu, et j'ai fini par tomber sur cette vidéo de 1977-78, le fameux "Staying alive" des Bee Gees. J'ai toujours associé cette chanson au disco, les boules à facettes, les pistes de danse et John Travolta. Je n'avais jamais vu le clip original et ça m'a tellement bluffée que je me suis promis d'en parler à mon retour !
Pourtant, c'est d'une simplicité affolante. Les frères Gibb qui marchent entre des ruines, en chantant à tue-tête, avec leur look seventies (fin de sixties même). Mais ce qui me frappe, c'est cet air de liberté, une sensation qui se dégage de cette chanson, et plus particulièrement de Barry Gibb (le plus chevelu sur la vidéo) lorsqu'il chante. C'est difficile à exprimer, mais cette chanson, associée à ces images, ça change toute la vision que j'en avais et je lui trouve une vraie force, alors qu'en l'associant à la folie du samedi soir, ça ne me faisait pas grand chose !
