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"Bagatelle, que m'as-tu promis, où m'as-tu mené ?"...
Ah, cette chanson... Je l'aime tellement... Peut-être un peu moins que Monochrome, qui reste pour moi The chanson de Yann Tiersen et Dominique A, mais quand même tellement... Entre les paroles dont j'adore chaque mot, les rythmes qui s'enflamment, la magie opère à chaque fois que je l'écoute. Alors, comme je viens de passer mon dimanche après-midi à écouter l'album C'était ici de Tiersen, j'en profite pour laisser un mot ici....
Pour (re)découvrir cette chanson, en voici une version live où ce n'est pas Dominique A mais Yann Tiersen himself qui chante. Et le moins qu'on puisse dire, c'est que c'est au moins aussi bien que l'originale !
Yann Tiersen sort un nouvel album, Dust Lane. ça promet...
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1. Help! des Beatles :
C'est par cette chanson que j'ai découvert les Beatles, et quand on sait l'importance que ça a eu (et a toujours, peut-être à une autre échelle) dans ma vie...
2. Monochrome, de Yann Tiersen, interprétée par Dominique A :
La première fois qu'on m'a fait écouter cette chanson, j'ai pleuré. Au delà de mes deux groupes préférés (les Beatles et Noir Désir) dont j'adore quasiment toutes les chansons, Monochrome est sans doute ma préférée. Les paroles me touchent tellement, la musique est fabuleuse et on ne s'étonnera pas, pour ceux qui ne l'avait jamais vu, que c'est celle-là que j'ai choisi de réaliser en clip l'an dernier pour un de mes cours de licence :
3. L'homme pressé de Noir Désir :
Ce groupe, j'ai commencé par le détester, à l'époque où cette chanson est sortie. Je n'écoutais pas encore de rock, encore moins français, et ça me parlait moins que pas du tout. Quelques années plus tard, changement de donne, je découvre Lost à la radio, ça me plait, je me lance dans l'écoute (en boucle) de "des visages, des figures". Suite logique, l'écoute de 666.667 Club, et forcément de l'homme pressé, donc j'ai pris la mesure des paroles. Coup de coeur immédiat. Loin du premier degré, c'est ma perception de l'univers médiatique, manipulateur, et je trouve ça passionnant. Pas étonnant que ça colle à ma vie actuelle :)
4. My favourite game, des Cardigans :
Cette chanson possède un rythme fabuleux, j'adore l'album Gran Turismo dont elle est issue, mais c'est surtout à cause (grâce à) de son clip que je la choisis ici. On y voit Nina Persson (que j'adore évidemment) conduire assez témérairement une décapotable, à toute vitesse, et j'admire le sentiment de liberté qui se dégage. Une vie à 100 à l'heure...
5. Le rêve de Stella Spotlight, Starmania :
Beaucoup de difficulté à choisir la cinquième chanson, mais je prends celle-ci pour deux raisons : la première, c'est que l'album de Starmania est le premier, des années avant les Beatles et les autres, à avoir tourné en boucle sur mon petit poste musical. A l'époque, la musique n'avait pas encore un vrai sens pour moi, mais Starmania avait fait tilt, je connaissais (et connais toujours) les paroles par coeur. Aujourd'hui encore, c'est un cd que j'aime écouter, pour ses chansons mais aussi l'univers très particulier qui est dépeint. La deuxième raison est plus récente et parlera à ceux (et celles) qui savent ce que j'ai écrit il y a 2/3 ans... C'est l'une des origines de Stella Strawberry, facilement éclairable par :
Devant mon miroir J'ai rêvé d'être une star J'ai rêvé d'être immortelle ment belle Ce soir j'irai voir A travers le miroir Si la vie est éternelle
6. Puisque j'ai placé Monochrome dans les 5 premières chansons, la sixième, LA chanson, est toute trouvée : Lovers Dream d'Anna Ternheim... Même si désormais je préfère la version en duo avec Fyfe Dangerfield, les versions album et accoustique sont tout autant magnifiques. Qu'ajouter à mes précédents posts ? J'aime tout, le mariage des deux voix, l'intensité qui s'en dégage, le côté tragique, la gravité des instruments, la beauté tout simplement...
Je ne tague personne, mais j'invite chaque visiteur qui le souhaite à jouer le jeu en commentaire (ou sur son blog !). :)
Soyons différent d'hier avec une chanson instrumentale de Tiersen. Il existe plusieurs version du "Banquet" et celle que j'apprécie grandement, voire plus, c'est celle tirée de l'album live "C'était Ici". Un début lent, et qui s'accélère au fil des instruments qui s'ajoutent. Jusqu'à l'explosion à une minute vingt qui nous emporte dans une sorte de farandole. C'est festif, et "le banquet" prend tout son sens.